Découverte du Pays de Galles, Partie 1 : la moitié nord

Après l’Angleterre nous découvrons le  pays de Galles pour bien voir et comprendre toute ce Royaume-Uni. Cette nation de 3.1 millions d’habitants fait la moitié de la Suisse en superficie et représente 4.8% de toute la population totale du Royaume-Uni. Les paysages sont très verts mais contrairement à l’Angleterre ce n’est pas plat mais montagneux avec de grosses collines et des milliers de moutons….

La population est plus orientée dans l’exploitation de l’agriculture que dans les gros business industriels et internationaux de l’Angleterre. Par contre même si l’Angleterre n’est pas loin, la grosse différence entre les 2 populations est qu’ici les personnes sont de “taille normale”. Car oui en Angleterre, il y a UN GROS PROBLÈME d’alimentation… C’est triste de voir tous ces gens obèses clairement à cause de la malnutrition. Nous disons toujours que les américains sont gros, alors Eric dit “après avoir vu ce que j’ai vu en Angleterre …on dirait facilement que le % de gros est bien plus important en Angleterre”. Beaucoup d’anglais nous disent que suite au Brexit et à la crise du COVID, le niveau du pouvoir d’achat a aussi ici énormément baissé et de ce fait, les gens paient moins cher pour ce qui concerne la nourriture, les choses pas chers sont pas forcément les meilleures (ex chips, plats préparés ou frits à l’emporter etc etc ) les légumes ou produits frais deviennent trop cher pour une alimentation quotidienne d’où ces conséquences dramatiques on peut le dire. Ce qui est choquant c’est que la jeune population est vraiment touchée par ce phénomène….
Pour ce qui concerne la langue, nous sommes sauvés avec l’anglais car tous les gallois la parlent en plus du gallois qui est leur langue “favorite”, autrement aucune chance de communiquer le gallois étant vraiment une toute autre langue. Autant le portugais nous le comprenions pas mais en le lisant on s’en sortait, et bien ici non seulement on ne comprend pas le gallois mais on le lit pas non plus. Ici tout est traduit dans les 2 langues.

Première étape la ville d'Aberystwyth au milieu et à l'extrême ouest

Actuellement une ville de 18,000 habitants, dont 9000 sont des étudiants à l’université restant ici pour 10 mois. Lorsque nous sommes arrivés nous avions eu un bizarre feeling ne sachant pas si cette ville était bien ou pas. C’est vrai que c’est relativement froid comme atmosphère, mais heureusement qu’il y a des universitaires pour mettre l’ambiance dans la ville. Bien que la ville soit relativement moderne, il y a un certain nombre de bâtiments historiques, y compris les vestiges du château (construit par les Normands pour assurer leur domination), et l’Ancien Collège de l’Université d’Aberystwyth qui se trouve à proximité. L’Ancien Collège fut construit et ouvert originellement en 1865 en tant qu’hôtel, mais à la suite de la faillite du propriétaire, la construction incomplète fut vendue à l’Université en 1867, cinq ans après sa fondation.

Ancien collège de l'Université
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Ruines du château
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Mémorial en mémoire des personnes décédées lors de la 1er et 2eme guerre mondiale
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Au loin au fond des quais le nouveau campus universitaire (c'est à cet endroit que l'on a dormi) puis sur les hauteurs le terminus du funiculaire en haut de la colline.

Le nouveau campus de l’université donne sur Aberystwyth des pentes de Penglais Hill à l’est du centre-ville. La gare, terminus de la ligne ferroviaire principale, fut construite en 1924, employant le style typique de l’époque, soit une mélange de l’architecture gotique, néo-classique et victorienne. Constitution Hill, une colline à l’extrémité nord de la promenade, fournit des vues panoramiques du littoral gallois et de l’intérieur montagneux, qu’on peut atteindre par un funiculaire, l’un des plus longs au Royaume Uni.

Nous avons dormi sur le quai et passé une très bonne nuit , mais aucune raison d’y rester plus longtemps.  Nous partons alors vers le nord dans le parc  national Snowdonia où le paysage ne peut tout simplement pas être plus vert.  Une grande partie du territoire gallois, en particulier dans le nord et dans le centre, est couvert de montagnes. Les plus hauts sommets se situent dans la région de Snowdonia (Eryri), au nord-ouest, qui concentre en particulier les quinze montagnes de plus de 3 000 pieds (910 mètres) d’altitude, dont le point culminant du pays de Galles, le mont Snowdon (Yr Wyddfa) (1 085 m).

Nous nous arrêtons pour la nuit à Harlech où Eric fêtera son anniversaire et aussi pour visiter le lendemain le château d’Arlech pour pouvoir bénéficier d’une vue imprenable vers L’Irlande.

Deuxième étape le château d'Harlech

Notre arrivée sur Harlech la veille de la visite du château
Le château d'Harlech, nous dormirons juste dessous
Vue depuis le château

Le château de Harlech est un château fort médiéval, construit sur un éperon rocheux surplombant la mer d’Irlande, c’est l’une des forteresses édifiées par le roi anglais Édouard Ier après sa conquête du pays de Galles, à la fin du XIIIe siècle. Sa construction, supervisée par l’architecte savoyard Jacques de Saint-Georges, dure de 1282 à 1289. En 1286, période la plus intense, ils impliquent 546 ouvriers, 115 carriers, 30 forgerons, 22 charpentiers et 227 maçons, et leur coût mensuel s’élève à 240 £. Le château est à peu près terminé à la fin de l’année 1289. Sa construction a coûté environ 8 190 £, soit le dixième des 80 000 £ que le roi Édouard Ier a consacré aux châteaux forts gallois entre 1277 et 1304. La garnison de Harlech compte alors 36 hommes : le connétable (Jacques de Saint-Georges occupe ce poste jusqu’en 1293), 30 soldats (dont 10 arbalétriers), un chapelain, un forgeron, un charpentier et un maçon10.)  Au cours des siècles qui suivent, le château de Harlech joue un rôle important durant le soulèvement d’Owain Glyndŵr, la guerre des Deux-Roses et la Première guerre civile anglaise.

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Ayant perdu toute importance stratégique, le château tombe en ruine jusqu’à une campagne de restauration entreprise par le gouvernement britannique au début duXXe siècle. Géré par l’organisme public Cadw, il est inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1986, au sein du site « Châteaux forts et enceintes du roi Édouard Ier dans l’ancienne principauté de Gwynedd ».

Troisième étape Caernarfon

Les paysages sur la route vers Caernarfon sont tout simplement sublimes, difficile de les décrire, les couleurs d’un instants sont tout autre à un autre moment, les reliefs sont doux, verts, parsemés de moutons, de grandes prairies, de petites collines. Bref c’est vraiment spectaculaire.

Caernarfon est une ville est très belle et nous nous y sentons bien dès notre arrivée, ce qui n’est pas le cas tout le temps donc nous sommes pressés de la visiter. La ville est surtout connue pour son impressionnant château fort et son enceinte, voulus par Édouard Ier d’Angleterre qui avait le même problème que l’Empire romain: contrôler les habitants de l’Arfon et de l’Île de Môn. Cette grande bâtisse de pierre devint rapidement le symbole de la domination anglaise. Sa construction commença en 1282, année de la chute de Llywelyn le Dernier. Le maître maçon employé par Édouard Ier, Jacques de Saint-Georges, prit pour modèle les murailles de Constantinople, Édouard Ier s’étant engagé dans la cause des Croisades pour sauver le Royaume de Jérusalem. Son fils, le futur Édouard II d’Angleterre, naquit à Caernarfon en 1284. Les Gallois refusant qu’un Anglais les dirige, Édouard Ier avait promis de mettre à leur tête un homme né en terre galloise et ne parlant pas anglais. C’est ainsi qu’il leur présenta le bébé né à Caernarfon et ne parlant pas un traître mot d’anglais et que, depuis, tous les premiers-nés mâles de la famille royale anglaise portent le titre de prince de Galles.

En 1911, David Lloyd George, alors député britannique, élu dans la circonscription, conçut l’idée d’organiser la cérémonie d’investiture du nouveau prince de Galles au château de Caernarfon pour pacifier l’opinion nationaliste tout en éveillant un sentiment patriotique britannique. La cérémonie eut lieu le 13 juillet. La famille royale était présente et le futur Édouard VIII fut, en bonne et due forme, élevé à la dignité de prince de Galles.

Le 1er juillet 1969, la cérémonie d’investiture fut répétée au château de Caernarfon pour le prince Charles, fils de la reine Élisabeth II. Il y eut des menaces nationalistes, deux membres de la Free Wales Army se firent d’ailleurs sauter en essayant de placer une bombe dans un train que le prince aurait dû prendre, mais la cérémonie se déroula sans incident.
Lors de la visite de ce MAGNIFIQUE château vous verrez des photos de cette cérémonie mais aussi il faut absolument le visiter son musé de l’armée qui est tout autant exceptionnel.

Quatrième étape LLanfairpwllgwyngyllgogery........................................................................ etc etc !!!!!!!!!!

Le lendemain, nous voulions absolument voir cette ville qui n’est pas très loin et qui porte le nom le plus long en Europe et qui n’a pas moins de 58 lettres. Alors si vous désirez tester votre habilité à parler le gallois c’est le moment :Llanfair­pwll­gwyn­gyll­go­gery­chwyrn­drobwll­llan­tysilio­gogo­goch, également transcrit pour vous aider à prononcer correctement en anglais:  Llan-vire-pooll-guin-gill-go-ger-u-queern-drob-ooll-landus-ilio-gogo-goch, et dont la traduction littérale en anglais est « The church of Mary in the hollow of the white hazel near the fierce whirlpool and the church of Tysilio by the red cave », signifie en français pour vous faciliter la tâche « l’église de sainte Marie dans le creux du noisetier blanc près du tourbillon rapide et l’église de saint Tysilio près de la grotte rouge ».

Bon allez exercice N°1, je tente de prononcer….bon ben, il faut l’avouer, c’est pas du tout compréhensible.
Alors version 2, par un vrai pro du coin !!!!

Aaaaah ben voila, ça c’est juste et très clair maintenant, facile non ?!!!!!! bon regardez dessous vous avez la version phonétique :

Allez y'a plus qu'à vous entrainer maintenant !!!! vous avez tout dans les mains 😉

Après cette sympathique visite, on profitera de cette jolie région pour dormir dans une petite ville très agréable, Bangor, non loin de là et avec la vue magnifique sur le Menai et son ponton Garth

Cinquième étape LLandudno

Notre chemin nous mènera ensuite à LIandudno qui est pour Eric le Nice du Pays de Galles, où la promenade des anglais à Nice est très ressemblante avec la différence qu’il n’y pas de Français et l’eau est bien plus froide mais par contre tout autant de gens âgés !!! Depuis le XIXe siècle, elle est connue pour être un centre touristique important, qui doit aussi sa réputation à la proximité de la ville de Conwy, qui est un centre historique. Elle a aussi été une station balnéaire depuis le XIXe siècle.
En 2012, une étude lui a même attribué la première place d’une liste des villes galloises où la vie est la plus agréable.
Son nom est resté célèbre dans l’histoire politique britannique car ses vastes ressources hôtelières lui ont permis d’héberger en octobre 1948 le congrès annuel du Parti conservateur, au cours duquel Winston Churchill a prononcé son fameux “discours de Llandudno”, qui définit les “trois cercles” qui se recoupent au Royaume-Uni : le Commonwealth, les États-Unis et l’Europe – dans cet ordre qui fait d’elle la bonne dernière de ses priorités.

Pour mettre un peu de gaité, nous avons aussi découvert que l’histoire D’ALICE au pays des merveilles n’est pas qu’une fiction mais bien vrai, car la vrai Alice venait en vacances ici avec ses parents et son vrai nom est Alice Liddell (appelée Secunda dans le poème d’ouverture). C’est d’ailleurs durant le trajet pour venir en vacances ici, que l’idée du scénario n’acquit par Lewis Carroll qui était l’écrivain, mais avant tout l’ami de la famille et adorait la petite Alice et réalisa lui-même 37 dessins à la plume dans l’exemplaire manuscrit de l’histoire qu’il offrit à Alice Liddell, le 26 novembre 1864. C’est pour cette raison que vous voyez la statue d’Alice et du Lapin en ville. Ici celle d’Alice.

Si vous venez ici il faut absolument monter sur la colline attenante qui s’appelle the Great Orme’s head, même en tramway si vous le désirez, mais lorsque vous y êtes la vue à 360% est inoubliable.

La mort de Llywelyn le Dernier en 1282 marque la conquête de la Principauté de Galles par Edouard Ier d’Angleterre, mais Owain Glyndŵr parvient à rétablir brièvement l’indépendance au début du xve siècle. L’ensemble du pays de Galles est annexé par le Royaume d’Angleterre et incorporé dans le système juridique anglais en vertu des Lois de 1535 et 1542.
Le pays de Galles partage étroitement son histoire politique et sociale avec le reste de la Grande-Bretagne, et dans la plupart de ses régions la majorité de sa population a l’anglais pour langue maternelle. Cependant, il a conservé une identité culturelle distincte. L’anglais et le gallois sont les langues officielles, plus de 560 000 personnes sont galloisantes, et une majorité de la population dans certaines régions du Nord et de l’Ouest parlent la langue galloise.

Les noms anglais du pays de Galles (Wales) et de ses habitants (Welsh) proviennent du vieil anglais wealh, lui-même issu du proto-germanique reconstitué *Walhaz. Ce terme dérive ultimement du nom d’un peuple celte, les Volques.
En 1485 à la suite de la victoire d’Henri VII, il devient roi d’Angleterre après sa victoire à la bataille de Bosworth. Son avènement marque l’arrivée au pouvoir de la maison Tudor, une dynastie d’origine galloise. Sous le règne de son fils Henri VIII, le pays de Galles cesse d’avoir une identité juridique distincte de l’Angleterre à la suite des Laws in Wales Acts de 1535 et 1542.
Durant la Première guerre civile anglaise (1642-1646), le pays de Galles reste majoritairement fidèle au roi Charles Ier, à l’exception notable de la ville de Pembroke qui se déclare favorable au Parlement. Les armées royalistes comptent de nombreux fantassins gallois dans leurs rangs. La dernière forteresse royaliste à résister aux parlementaires se trouve au pays de Galles : c’est le château de Harlech, dont la garnison se rend le 15 mars 1647 après neuf mois de siège. L’année suivante, c’est au pays de Galles qu’éclate la Deuxième guerre civile anglaise, lorsque la garnison parlementaire du château de Pembroke se soulève et rallie le camp royaliste. La rébellion des Galles du Sud est rapidement écrasée par les parlementaires à la bataille de St Fagans , et celle des Galles du Nord connaît le même sort à la bataille de Y Dalar Hir.

Époque contemporaine : en 1881, le Sunday Closing (Wales) Act (en) est la première loi britannique à reconnaître le pays de Galles comme une entité distincte au sein du Royaume-Uni. Le pays de Galles est l’une des quatre nations constitutives du Royaume-Uni.
Dans l’enseignement, environ 20 % des enfants sont scolarisés uniquement en gallois; pour le reste, l’étude du gallois comme deuxième langue est obligatoire jusqu’à l’âge de seize ans. Par conséquent, c’est dans les classes d’âge les plus jeunes que l’on trouve le plus de gallophones.
Cette situation change avec la révolution industrielle et le début de l’exploitation systématique des ressources naturelles dont dispose la région, en particulier ses mines de charbon, de plomb et de fer, ainsi que son industrie ardoisière dans le nord-ouest. Les fonderies se développent dès la fin du xviiie siècle dans le sud-est de la région et la production galloise représente jusqu’à 40 % de la fonte brute produite en Grande-Bretagne dans les années 1790. À son apogée, en 1913, le bassin minier des Galles du Sud emploie 230 000 personnes et produit 56 millions de tonnes de charbon par an. La production de fer-blanc connaît quant à elle son pic en 1891, avec 690 000 tonnes de fer-blanc

Symboles: 
– Le drapeau du pays de Galles se compose d’un dragon rouge sur fond vert et blanc. Le dragon rouge apparaît dans les textes de la légende arthurienne comme le symbole des Bretons insulaires dans leur lutte contre les Saxons, symbolisés par un dragon blanc.. Le vert et le blanc sont quant à eux les couleurs de la maison Tudor. L’étendard d’Henri Tudor à la bataille de Bosworth, en 1485, arbore ainsi un dragon rouge crachant du feu sur fond vert et blanc. Après sa victoire, l’étendard est emporté à la cathédrale Saint-Paul de Londres pour y être béni. Le drapeau est adopté comme emblème officiel du pays de Galles en 1959.
– Le sport le plus populaire au pays de Galles est le rugby à XV. L’équipe du pays de Galles, participe chaque année au tournoi des Six Nations, compétition qu’elle a gagnée 23 fois dont dix Grands Chelems. Depuis 1987, le pays de Galles participe à la Coupe du monde de rugby, elle a été demi-finaliste en 1987, 2011 et 2019.
Après le rugby, le sport populaire du pays de Galles est le football. Avant sa qualification pour l’Euro 2016, l’équipe de football du pays de Galles n’a participé qu’à une seule phase finale d’un grand tournoi international : la Coupe du monde de football 1958, dont elle atteint les quarts de finale. Elle atteint également les quarts de finale de l’Euro 1976, à une époque où la phase finale ne débute qu’à l’étape suivante.. Le gallois Gareth Bale est de plus en 2017, le deuxième joueur le plus cher de l’histoire du football, avec un transfert de 100 millions d’euros vers le Real Madrid en 2013.
Le stade le plus important du pays de Galles est le Millenium Stadium de Cardiff, stade construit en 1999 et qui a une capacité de 74 500 places. Les équipes de rugby et de football jouent leurs matchs internationaux dans ce stade. Avant les matchs internationaux, les équipes galloises de football et de rugby chantent l’hymne Hen Wlad fy Nhadau (qui signifie en français : vieux pays de mes ancêtres).

Nous quittons le Pays de galles pour rejoindre gentiment la région de Liverpool car bientôt la date de notre traversée pour l’Ile de Man arrive. On dormira 2 nuits dans un camping pour y faire notre lessive, l’endroit est juste magnifique, la vue depuis le camping est spectaculaire et donne sur la baie de Morecambe.

Vue sur la baie de Morecambe à marée basse depuis le camping

Comme notre ferry est à 2h du matin, on passera la journée à Morecambe, petite ville agréable.

En visitant la ville et en se promenant sur les quais, soudain on a entendu comme de bruits de sabots, en se retournant, on a cru rêvé car Eric a d'abord vu un jockey avec une petite charrette allant super vite (à cet instant je ne l'ai pas cru), puis une autre et puis, ben voyez vous même sur la vidéo suivante...on ne rêvait pas et malheureusement on a pas eu le temps de savoir ce que c'était comme évènement..

Alors merci le Pays de galles, nous reviendrons visiter la partie sud à notre retour de l’Ecosse, l’Irlande et surtout dès demain l’Ile de Man !!!!! Date réelle de la traversée depuis Heysham vers l’Ile de Man le 16 mai 2022

1 réflexion sur “Découverte du Pays de Galles, Partie 1 : la moitié nord”

  1. Béatrice Corpataux

    Houlala merci infiniment pour toutes ces infos
    Comme tjs c’est hyper sympa de vous suivre
    Magnifique comme d’habitude
    Très bonne continuation gros bisous

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